Daniel Passarella quitte River Plate avec tristesse ... mais honneur!
Il l'avait bien dit le 25 mai dernier. Si River ne parvenait pas à remporter un titre cette saison, il s'en irait. River n'a aujourd'hui plus aucune chance de gagner la copa sudamericana ( éliminé par Arsenal à domicile) ni le tournoi de clôture argentin (Lanùs et Boca Juniors sont en tête à trois journées de la fin du championnat, River 7ème).
L'ex capitaine de la sélection albiceleste champion du monde en 78 à de l'honneur, et pas qu'un peu. Il a déjà posé sa démission à son président, avec tristesse et sûrement un peu flippé aussi.
Oui Parce qu'il faut le dire, en Argentine, on a beau avoir un palmarès long comme ça, il suffit de quelques supporters énervés pour se faire tuer... Sage décision donc pour Passarella. Les supporters comprennent, apprécient même le beau geste, le Hara kiri version buenos aires, mais il faut bien se venger, pour comprendre la déroute du club, et quoi de mieux que tout jeter à la figure du président.
Bon courage Monsieur José María Aguilar, président de River, et prochain fusible éjecté du club. Ayez au moins le cran de fuir avant que votre tête soit mise à prix...
Le fameux discours de passarella, scellant son sort...
http://www.dailymotion.com/relevance/search/passarella/video/x235xg_discurso-daniel-passarella-25052007_sport
vendredi 16 novembre 2007
Quand River perd, River.... coule...
Publié par Anonyme à 09:14 0 commentaires
lundi 12 novembre 2007
(R)humeurs
Les dirigeants de l'équipe Nationale de Beach Soccer ont fait savoir qu'ils souhaitaient que le "divain chauve" revienne au football, sur le sable cette fois afin de renforcer l'effectif de l'équipe de France. En vue la coupe du monde 2008 qui aura lieu chez lui, à Marseille !
Publié par Jules à 07:45 0 commentaires
Le Brésil en conquistador
Les auriverdes se sont une nouvelle fois imposés (et de quelle manière!) lors de la troisième coupe du monde de Beach soccer Fifa à Rio de Janeiro, sur les plages de Copacabana.
Double champion du monde en trois éditions, les Brésiliens restent sur une série allucinante de 58 victoires, avec quelques scores fleuves: lors de l'édition 2006, ils avaient vaincus la France entrainée par Monsieur Cantona, tenez vous bien, 23 à 3 (non y a pas de faute de frappe). Tout ça dans le temps imparti de 3 tiers temps de 12 minutes chacun.
Ces invincibles brésiliens sont donc meilleurs à prendre sur l'herbe, parce qu'il faut bien l'avouer, dans le sable ils sont vraiment vraiment mais alors vraiment trop fort, en tout cas pour le moment. Compte-rendu :
La France bleue pâle
Si les joueurs d'Eric Cantona se classent 4ème de la compétiton, il n'en reste pas moins que leur parcour est bien triste. Avec une seule victoire lors de la phase des poules, un nul et une défaite, les bleus se sont péniblement qualifiés jusqu'aux demi finales, où ils se sont inclinés 6 à 2 face aux Brésil. Ils rateront la troisème marche du podium face aux vice-champions 2006 Uruguayens, eux-mêmes battus en demi par les Mexicains qui ont surpris tout le monde pour leur première participation.
Buru bien au dessus
Le pivot du Brésil a remporté son second trophée de champion du monde, une première. A 31 ans, le brésilien se paie le luxe de s'attribuer également le soulier d'or et le ballon d'or adidas, récompenses du meilleur buteur et du meilleur joueur de la compétition, excusez du peu.
Le Brésil s'est ainsi adjugé l'ensemble des trophée de la compétition, ajoutant au tableau le trophée du Fair-play.
Outre le privilège de se trouver en démonstration aux JO de Pékin l'été prochain, la prochaine coupe du monde se jouera l'an prochain en France, à Marseille. Le fait qu'elle se déroule pour la première fois dans un pays européen est plus qu'un symbole. Cela signifie également une réussite commerciale sans comparaison en un temps record. Car si le beach soccer ne dispose encore d'aucun championnat national, ce sport est pourtant de plus en plus présent chaque année. La Fifa en choisissant de gérer cette compétion qui avait lieu déjà depuis dix ans au Brésil ne s'y est pas trompée. Retransmis cette année dans 170 pays, avec une moyenne de pratiquement 9 buts par match, bien supérieur au football traditionnel, le foot sur sable promet du spectacle et surtout beaucoup d'argent encaissé.
En espérant au moins que la France puisse se montrer plus convaincante sur la terre de son ambitieux promoteur Eric Cantona, qui souhaite voir se sport devenir professionnel dans les 5 prochaines années...
Publié par Jules à 07:21 0 commentaires