samedi 1 décembre 2007

Riquelme vers boca... comme un parfum de désintoxication...

Si Juan Roman Riquelme était un avion, ce serait sûrement un long courrier Madrid-Buenos Aires bien chargé...mais pourquoi?

Je n'en sais rien, j'essayais juste de faire une image pour dire qu'il naviguait souvent entre l'europe et l'amérique latine...et pour toutes les raisons imaginables: famille, blessure, sélection nationale, élections présidentielles, fête de l'empanadas de Tùcuman...

Mais pourquoi donc retourner à Boca Juniors?
Serait-ce une histoire d'agent?
Oui, comme d'habitude dirait-on.
Mais non, dans son cas, il s'agirait plutôt d'une pré-retraite en Argentine, où l'on connait l'efficacité de la lutte anti-dopage...

Riquelme ne fait plus partie des plans de son entraineur en Espagne, sûrement suite aux accusations de dopage dont il fut l'objet ces derniers mois...évidemment son entourage n'affirmera pas mes propos...
Comment fuir les médias européens et le harcèlement de l'UEFA concernant l'accusation de dopage dont il fait l'objet?
La solution se trouve à quelques millliers de kilomètres de l'espagne, dans une contrée aux autorités moins regardantes.
Aaaahhhh L'Argentine, ses terres sauvages, la pampa, la culture gaucho, le pays de notre cher ami Riquelme...
Retour aux sources pour le numéro 10 argentin de ces dix dernières années, comme l'avait fait un certain diego armando maramachin il y a presque 20 ans...Pour les même raisons...

Alors oui, on pourra croire toutes les prochaines déclaration faites par Riquelme du genre:

" Je suis heureux de retrouver Boca, c'est le club de mon coeur, j'ai toujours voulu revenir jouer ici"
" Je ne supportais plus la vie en Europe, les médias espagnols sont vraiment durs avec moi"
" Je suis venu ici pour prouver que je n'étais pas mort, et je veux que Boca gagne le championnat avec moi. Je suis fier de revenir dans mon pays, que j'aime plus que ma dose de coke quotidienne"

Enfin vous voyez ce que je veux dire...car l'argentin est très patriotique...surtout quand il a des problèmes de drogue en Europe...

dimanche 25 novembre 2007

Quand Blatter déblatère...

Qu'on se le dise, le monde va mal et celui du ballon ne tourne plus très rond.

Après les reconduites à la frontières sine die, les tests ADN d'une droite qui ne sait plus quoi inventer pour se débarrasser de ces immigrants jugés comme des "pestiférés", c'est au tour de Sepp Blatter de déblatérer sur la question de la présence massive de joueurs étrangers dans les championnats Italien, Espagnol et Anglais (chers compatriotes, la France est à l’abri).

Il a souligné la semaine dernière qu'un puissant courant souhaite que soit stoppée l'envahissante "présence des joueurs non nationaux" dans certains championnats et certaines équipes, afin de garantir la viabilité des équipes nationales.
Humhum...quel est ce puissant courant qui pèse de tout son poids sur les décisions relatives aux marchés des transferts et à la visibilité nationale dans les clubs? Mafia, francs-maçons, illuminati....sectes en tout genre...

N'oublie pas, cher Sepp, que ce sont les clubs qui attirent les joueurs et leur font signer des contrats de travail. Ce sont les clubs qui recrutent à tour de bras à en devenir une vraie pagaille.
Arrêtons là la connerie et les quotas avec...merci

Prodiges, futurs pros dis-je?

Etre jeune et talentueux suffit-il pour percer dans cet océan footbalistique où se cotoient les requins aux dents longues, les faiseurs mais surtout briseurs de rêves?

Dans la catégorie prodige beaucoup de noms circulent sur le net. Petit aperçu de quelques vidéos dans lesquelles seules l'esthétique du geste et l'authenticité du talent ont de la valeur.

Avis aux amateurs pour s'essayer à quelques gesticulations...avec un ballon.
Suivez les exemples.


Ya de la joie!

Si souvent, la critique du sport et du foot en particulier est plutôt facile, parfois il convient d'en sourire.

Sourire de tout la mise en scène qui dénature quelque peu (je pèse mes mots) ce sport populaire par excellence.

Donc un peu de joie dans ce monde de truffe, truffé d'électrons malsains. Un peu de joie, simple joie...tout en image.